Histoire de cul : Une beurette voilée pas comme les autres

Mon histoire érotique (à lire en intégralité sur Dialogue69 ) commence de façon peu conventionnelle, mais moi non plus ne m’attendais absolument pas à ce que cette petite beurette soit aussi cochonne.

Depuis un bon moment je fantasmais sur ma voisine Alima, ce que je ne savais pas c’est qu’elle aussi avait des vues sur moi. La seule information que je possédais sur cette belle beurette est qu’elle était étudiante, le reste n’était que mystère.

Il m’arrivait de me masturber régulièrement en pensant au cul de la voisine d’en face. Je n’ai jamais eu l’occasion de lui parler et pourtant cette salope me faisait bander à en faire des trous dans mon pantalon. J’ignorais qu’elle aussi rêvait secrètement de prendre ma queue en bouche. L’univers allait faire écho à nos désirs respectifs et nous donner l’opportunité de nous apporter mutuellement du plaisir.

Histoire de cul entre voisins

Il y a quelques jours j’ai égaré les clés de mon appartement. Etant complètement paumé, je ne savais pas quoi faire car il était trop tard pour faire intervenir un professionnel. Pendant que je réfléchissais à une solution, ma voisine voilée sur laquelle je fantasmais depuis belle lurette arriva et me demanda ce qui se passait. En faisant la conversation avec elle, j’imaginais secrètement qu’elle m’inviterait à passer la nuit chez elle. Au lieu de cela, elle me montra une méthode qui consiste à utiliser une carte bancaire afin d’ouvrir la porte. J’étais à la fois content de rentrer chez moi, mais déçu de devoir la quitter. Je décidais tout de même de l’inviter à entrer afin de la remercier en lui offrant un verre. Et là, grande fut ma surprise quand elle me fit une réponse qui me laissa sans voix.

Une beurette vicelarde

Alima me dit qu’elle ne voulait pas de verre en remerciement car elle ne prenait pas d’alcool, mais qu’à la place, elle entrerait dans mon appartement si j’acceptais de lui faire un cunnilingus. MA voisine voilée voulait se faire lécher la chatte, j’étais sans voix. Elle me répéta en me regardant dans les yeux : si tu veux vraiment me remercier, mets-toi à genoux et lèche moi la chatte. Je venais de découvrir deux choses à l’instant. La première c’est qu’Alima était une vraie petite garce et que j’aimais ça, mais qu’en plus j’étais un mec qui sans le savoir adorait la soumission. Son ordre me donna la trique et une fois à l’intérieur de mon appartement, je me mis à lui lécher la foufoune. Je bandais comme un fou et me préparait à lui défoncer la chatte quand elle me dit : Pour ce soir tu devras te branler en pensant à moi, tu auras droit à ma chatte quand je le déciderais et peut-être même à mon petit trou. Elle s’en alla sans rien rajouter. J’avoue que cela m’a excité à un point auquel je suis tout de suite allé me branler, en me disant que cette salope était parfaite pour moi.